19 avril 2024

la plage

 

j’enchaîne les déplacements. Mon patron m’envoie pour 10 jours dans le sud ouest pour y consolider la relation avec nos clients un peu trop fuyant en ce moment.

J’organise mon séjour pour passer le week end à Montpellier. J’ai plein d’excellent souvenirs dans cette région et plus particulièrement d’une plage naturiste sauvage réservée aux hommes. 

Le vendredi, une fois tous mes rendez vous fini, je suis trop crevé pour faire toute cette route pour seulement quelques minutes de soleil. Je décide de me coucher tôt pour y passer la journée complète du lendemain. Mais avec toute la fatigue que j’ai accumulé je ne me réveille pas avant 10 heures et je prends la route seulement un peu avant midi.

Le parking de la plage à une bonne dizaine de voiture qui l’occupe déjà, c’est un bon signe. J’attrape un sac dans lequel j’ai rangé serviette, bouteille d’eau, un livre.. et je me dirige vers la plage. Je descends les grandes falaises et vois déjà sur le sable plusieurs silhouettes plus ou moins poilues. J’installe mes affaires au pied du rocher et après avoir étendu ma serviette, je m’allonge complètement nu dessus.

Je réchauffe bien mon dos et mes jambes puis je m’assois pour un peu observer qui partage cette étendue de sable avec moi. Je vois, à quelques dizaines de mètres, deux hommes nus me tournant le dos. Le côté de leur corps sont collé l’un à l’autre. Je les imagines en train de se caresser mutuellement alors que ma bite commence à se soulever.





Un peu plus sur le côté je vois un autre couple de mec, allongés en cuillère. Encore une fois je ne les vois pas distinctement mais vu les mouvements de bras de celui de derrière j’ai aucun problème à l’imaginant masturbant son compagnon. J’espère aussi qu’il est en train de se frotter contre ses fesses. A force je suis raide comme un piquet, je m’allonge un moment sur le ventre pour cacher mon érection.

Quand je me relève, je suis redevenu flasque, mais je dégouline de transpiration. Pour me rafraichir, je décide d’aller me baigner. Plus j’avance vers la mer, plus je bande. Je ne sais pas si c’est le petit vent qui en caressant mon corps me fait cet effet ou si c’est le fait de m’exhiber compliment à poil devant tous ces hommes. J’accélère pour dépasser tout le monde et cacher ma bite raide et exhiber mon cul à la place.

Je rentre rapidement dans l’eau qui est plutôt fraiche, surtout comparé à la température extérieur. Du coup j’en débande, mais je peux me retourner et regarder encore tous ces mecs nus devant moi. Je suis interrompu dans mes rêveries de mon corps se mélangeant avec certains des bronzeurs, par une voix derrière moi:
« C’est vrai qu’elle est fraiche mais une fois dedans elle sera plus agréable. »

Je me retourne et je vois sortir de l’eau un homme d’environ mon âge. Il est plus petit que moi et légèrement bedonnant mais son corps est recouvert d’un foret de poils. Même si je ne vois pas son sexe qui est toujours sous l’eau, je devine qu’il est nu. Il me sourit, je lui souris à mon tour et il ajoute:
« Si tu veux on plonge ensemble. »




Je lui réponds « pourquoi pas » et avant que je me remette trop à bander, je plonge.

Nous nageons jusqu’à une zone où j’ai tout juste pied. Lui remue les jambes pour flotter alors que je sautille pour pas avaler la tasse. Il me demande si je suis de la région alors je lui raconte un peu mon histoire, c'est un local. Il me demande si je suis seul, alors je lui réponds:
« Je me remets de ma dernière rupture. »

Il me pose pas d’autres questions à ce sujet et c’est tant mieux. Malgré tous nos efforts, peut être pas assez convaincants, pour ne pas nous toucher, nos corps s’effleurent. Alors qu’il passe devant moi, sa queue cogne la mienne. J’ai l’impression que tout comme moi, il bande. Après un petit silence, la discussion reprend normalement.

Trop attirés l’un par l’autre, nous nous rapprochons lentement. Son visage se penche vers le mieux, je suis légèrement tétaniser. Dès que ses lèvres rentrent en contact avec les miennes nos corps sont comme aimantés. Mes mains parcourent son dos, ses fesses, son torse, son visage… tout comme les siennes. Nous nous cajolons l’un l’autre alors que nos langues dansent ensemble, pendant un bonne dizaine de minutes, quand il me propose de continuer sur nos serviettes.



Nous sortons de l’eau avec nos deux tiges fièrement dressé, il est un peu moins bien monté que moi mais son gland décalotté est énorme. Alors que nous remontons sur toute la longueur du sable, plusieurs visages se tournent vers nous. En chemin il attrape sa serviette et ses affaires mais sa main reste dans la mienne. Quand nous voyons un couple se tripoter ou se sucer, nous ralentissons le pas.

Il installe sa serviette à côte de la mienne, nous nous allongeons, et nos corps se rapprochent doucement. Comme dans l’eau, une fois que nous nous embrassons nous nous déchaînons. Sa main descend rapidement sur mon sexe pour me branler. J’ai trop envie de décalotté son énorme gland alors je me retourne en chien de fusil. Mes doigts touchent son champignon sous le prépuce avant de tirer le morceau de peau pour faire sortir l’objet de ma convoitise. En voyant son gros gland bien violacé, je peux m’empêcher de passer un premier coup de langue. Puis un deuxième et je les enchaine jusqu’à le prendre en bouche. Il se laisse sucer alors qu’il me caresse toujours, ses mains me font énormément de bien.

Qu’est ce que c’est bon de s’occuper de nouveau d’une belle queue de la sentir venir taper mon palet ou ma glotte, de la faire vibrer entre mes lèvres… Je ne sais pas si c’est le manque d’un autre pendant plus de deux ans où juste le fait que je me suis pas vider les couilles depuis presque une semaine mais j’éjacule avant que ses lèvres goutent à ma bite.

Je me regarde asperger son torse et mon sperme se prendre dans ses poils. Une fois vidé, je me jette sur sa bite et le suce jusqu’à ce qu’il se vide directement dans ma gorge. Une fois nos étreintes finies, il se lève pour aller se rincer dans l’eau alors que je reste sur ma serviette et plonge, rapidement, dans les bras de Morphée.

Je me réveille en attendant des voix autour de moi. Mon compagnon de baignade et de cochonneries, discute avec un couple de mecs d’une dizaine d’année de moi que nous. Un est tout fin, totalement imberbe avec des cheveux décolorer en blond tandis que l’autre et brun au yeux bleus, la peau halée, son torse poilu me fait déjà frémir. En m’entendant bouger, celui que j’ai sucé se retourne et me lance:
« Tu as bien dormi? »

Il caresse mes fesses nues et rajoute:
« Apparement tu en avais besoin. »
Nous nous sourions avant qu’il enchaine:
« Pendant que tu ronflais, j’ai fait la connaissance de Marc (le brun) et Thomas (le blond). »
Il veut me présente mais réalise qu’il ne connait pas mon prénom alors je me présente.


Mon compagnon de baignade me regarde avec un grand sourire et avant de me rouler une pelle, me dit:

« Enchanté Romain, moi c’est Philippe. »
Puis leur discussion reprend et je m’en mêle. Evidement ça parle de cul, j’en profite pour regarder les différents sexes qui commencent à se dresser. Thomas est monté à peu près comme moi alors que son compagnon en a une bien longue mais plutôt fine.

Je peux m’empêcher d’empoigner la bite de Philippe et le masturber pour continuer à le faire grandir. Il se laisse complètement faire surtout que les deux autres mecs se rapproche de nous. Le blond s’occupe de mon costume 3 pièces alors que le sien est entre les mains de Marc qui se fait branler par Philippe. Nous faisons un quatuor de branlette en plein milieu de la plage. Je suis tellement hypnotiser par cette bite que j’oublie le monde autour.

Au bout de quelques minutes, Marc rond le cercle et se lève. En voyant des gouttes perler de son méat, je me redresse pour les lécher. Une fois que j’ai avalé son pré-sperme, je le prends de plus en plus en bouche alors qu’il s’allonge pour que nous soyons un peu plus discret. Son sexe est super doux, j’adore sentir son gland frapper le fond de ma bouche, je suis tellement excité que j’ai peur de jouir aussi rapidement que tout à l’heure.



Je ressors doucement ma bouche pour ne garder que son gland, ma langue tournoie autour. Je le lèche puis descends mes lèvres sous sa tige pour atteindre ses couilles complètement lisses. Quand je les gobe, je sens des lèvres enfermer ma bite et d’autres ouvrir mon petit trou. Avant de nouveau avaler Marc, je jette un coup d’oeil. C’est Philippe qui me bouffe le cul et le blond qui me suce.

Je vis un moment divin, pendant que deux bouches s’occupent de mon entrejambe au grand complet, je me délecte d’un très longue bite que j’avale presque entièrement. Au moment où je sens les doigts de Philippe entre mes fesses la température grimpe encore plus. Je ne sais pas combien de doigts, il essaye de rentrer mais ça me fait un peu mal.

Je recrache Marc pour voir que se ne sont pas des doigts qui essayent de me sodomiser mais une queue, qu’il a pris soin de plastifier. Comme on m’a pas baiser depuis plus de deux ans et que son gland est énorme, je change de position. Je me mets à 4 pattes, Tomas se glisse sous moi pour continuer à me sucer et Marc se lève pour que je m’occupe de lui. Je sens déjà le gros champignon de mon compagnon de baignade forcer mon anus.

Il se retire, écarte bien mes fesses pour cracher sur mon petit trou et vient étaler le tout avec son gland. Il s’enfonce d’un coup sec en moi, j’ai l’impression que mon cul va se déchirer sous le passage de son énorme champignon. Pour ne pas crier je m’empale sur la tige devant moi qui étouffe tout. Une fois que les couilles de Philippe tapent mes fesses, il s’immobilise en moi.

Thomas continue de s’exciter sous moi, bien que ma bite ait rétrécie par la douleur, je ne bouge plus. Même si j’ai encore un peu mal, je me remets à sucer Marc, mon compagnon de baignade doit prendre ça comme un signale et commence de lents vas et viens. La douleur se mélange à un excellent plaisir oublié qui m’électrise tout le corps, j’en ai la chair de poule.


Comme mes sphincters se détendent, Philippe me ramone de plus en plus vigoureusement. Dieu que c’est bon, mais pourquoi j’en ai pas parlé à Marie pendant tout ce temps! Ses coups de reins deviennent de plus en plus violent, du coup Thomas préfère me recracher et se relever pour venir sucer avec moi Marc. Ca tombe bien j’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur sa queue.

Mon compagnon de baignade se déchaîne totalement dans mes entrailles, il me fesse de plus en plus fort. J’adore sentir mon cul sous sa main qui me claque mais aussi le bruit que fait chaque fessée que je reçois. Je sens sa bite sursauter en moi, je contracter mes muscles du périnée mais il décule complètement.

Alors que je ressens un grand vide en moi, il vient devant Thomas et moi en retirant sa capote. Nous ouvrons en grand la bouche et il s’enfonce entre les lèvres du blond, ressort pour venir entre les miennes. Au même moment où son gros gland vient taper ma glotte, je sens Marc me sodomiser. Comme je suis déjà bien ouvert et que sa queue est fine, je ressens que du plaisir. Je gémis comme un fou en me sentant pris en sandwich par deux hommes bien viriles.

Philippe se branle devant nous et repartie équitablement son jus dans nos bouches alors que je continue de me faire ramoner. Thomas et moi partageons notre récompense dans une belle pelle bien baveuse pendant je me fais marteler les entrailles. J’avais déjà gouté à la semence de mon compagnon de baignade qui est toujours aussi douce et agréable à déguster mais encore meilleur de cette façons.

Nous nous embrassons pendant de nos longues. En fait nos lèvres se désolidarisent quand je sens Marc quitter mes fesses. Il vient face à nous et tout comme Philipe avant lui retires préservatif et profite de nos 2 bouches côte à côte. Quand il est sur le point de jouir, il rentre son gland entre mes lèvres et se vide entièrement en moi. J’ai l’impression qu’il n’arrête pas de juter, que si j’en avale pas ça va déborder pourtant ce n’est pas le cas et encore moi quand il quitte mes lèvres.

Tomas vient face à moi, il prend mon visage entre ses mains et sa langue rentre dans ma bouche récupérer sa part du butin. Le sperme que nous partageons semble plus gluant que celui de Philippe, mais surtout il a un goût acide pourtant nous nous délectons à tout avaler. Quand notre baiser s’arrête je prends un moment avant de me relever mais le blond est déjà derrière moi prêt à m’enculer.


Je sens mon petit trou, pourtant déjà bien dilaté, encore plus s’ouvrir sous la pression de son gland. Lui que je prenais pour une grande folle est non seulement, aussi, actif mais en plus c’est le mieux monté de nous quatre. Je profite de chaque centimètre de ce membre qui plonge en moi, je partage mon plaisir avec Marc et Philippe qui me regarde me faire sodomiser par cette magnifique tige qui ressemble plus à un tronc.

Une fois qu’il est planté en moi, je sens immédiatement sa bite aller et venir, il me pilonne le cul et j’en redemande. Je couine comme jamais sous les coups de rein et de mains que je reçois. De temps, il ralentit et me prend tout doucement sur toute sa belle longueur. A d’autres moments il décule complètement et me repossède plus ou moins énergiquement.

Phillipe glisse sous moi et avale ma queue qui arrête pas de cogner mon ventre et mes cuisses. Alors qu’il me suce avec passion je sens la main de Marc venir me malaxer les couilles. Je suis ivre de bonheur, 3 autres qui me donnent du plaisir, mais à ce rythme je risque de gicler d’un instant à l’autre. Je contracte mon périnée pour essayer de retarder le moment fatidique et ça fais encore plus gémir Thomas derrière moi.

Après une dernière belle fessée, le blond décule d’un coup sec et se dépêche de mettre sa bite dans ma bouche. Je m’applique à le sucer du mieux possible alors que la main de libre du brun vient combler le vide entre mes fesses avec 3 doigts. Thomas et moi jouissons presque en même temps sauf que lui se vide dans ma bouche et moi dans celle de Philippe.




Mon suceur se dégage de sous moi, tout comme moi il a la bouche pleine, j’attends que nous mélangions nos deux récoltes mais Thomas le stop au passage et récupère ton mon jus dans sa bouche. Il se remet à 4 pattes face à moi, alors que les doigts de Marc sortent un à un de mes entrailles. Nous nous roulons la plus fabuleuse des pelles avec lui mon jus en bouche et moi le sien.

Une fois que nous avons récupérer nos esprits, j’annonce que je vais me rincer dans la mer. Mes 3 compagnons de baise m’accompagnent. Sur le chemin Marc me prend à part pour me dire que je suis un chanceux. Apparement Thomas utilise que très rarement sa magnifique bite mais j’ai du bien l’exciter pour qu’il ait envie de me sodomiser. Je me sens flatté et réalise que j’avais bien jugé le blond.


De retour à nos serviettes, je me sèche au soleil un bon moment alors que nous continuons discuter, évidement de cul. Je leur dis que je vais y aller mais il me propose de rester avec eux que l’on passera la soirée et la nuit ensemble. Ca m’avait vraiment manqué de me faire prendre ainsi par de bonnes queues mais je ne veux pas passer pour un sac à foutre, moi aussi j’ai envie de pénétrer un beau cul alors je les abandonne pour rentrer à mon hôtel. Mais la soirée et tout comme le week end ont loin d’être fini….



18 avril 2024

soirée de dingue, épilogue , un week-end à la montagne







Je suis rentré chez moi,  épuisé,  épuisé mais repus.  Mes rencontre de la nuit avaient calmé mes ardeurs.  Trop fatigué pour prendre une douche.  Je puais le sexe et le foutre et j'aimais ça.  J'avais sur la peau l'odeur des autres et j'aimais ça. Pas question de me laver. Je voulais m'endormir avec ces souvenirs de la nuit,  souvenirs de plaisirs,  d'orgasmes, souvenirs d'autres.  Mais la nuit se devait d'être courte,  j'avais promis à mon oncle de le rejoindre dans son antre au fin fond de la forêt.  Je ne connais pas bien mon oncle. Je ne l'ai vu que peu de fois.  De fait je crois que mes parents ont longtemps voulu me tenir éloigné de lui.  Je sais pourquoi maintenant.. je le sais depuis que je l'ai croisé dans un sauna,  une bite lui ramonant le cul.
Il habite un coin isolé et dans une maison qui l'est plus encore.  J'y suis arrivé en milieu de l'après-midi après deux heures de route depuis New-York. 
Il y avait un mot sur la porte m'indiquant qu'il était en ville pour faire quelques courses, où trouver la clé et me proposant en attendant de m'installer dans la chambre sous les combles. 
La maison était dans le style rustique.  Bois,  cheminée,  tapis épais, bibliothèque,... on s'y sentait bien rapidement 
J'ai posé mon sac dans la pièce qui allait être ma chambre pour le week-end.  Chaleureuse, lumineuse avec un  velux surplombant le grand lit confortable et plein de couvertures bien chaudes. 
Il y avait aussi une étagère avec quelques bouquins,  essentiellement des policiers et aussi curieusement de vielles cassettes vhs de films de cul gays bien sûr. 
 Les photos des pochettes fleuraient bon les années 80. Blonds musclés en slips kangourous blancs déformés par une trique prometteuse,  poses subjectives et titres accrocheurs.  Jeff stryker nous affirmant que ce qui compte c'est la taille. 
En les regardant, les plaisirs de la nuit sont remontés à la surface.. mon cul, mon bas-ventre se sont souvenus des caresses reçues, ma queue a brusquement poussé sous mon jean. 
J'ai défait ma braguette, caressé mon sexe à travers mon slip déformé par mon érection.  J'avais subitement chaud. J'ai caressé mon torse d'une main tout en continuant à flatter ma queue encore prisonnière de mon ck. 
Elle était là devant moi toute droite.  J'en connaissais bien sûr chaque détail. Chaque veine m'était familière et ma main en connaisait tous les secrets.  En la regardant ainsi,  en recueillant la première perle de mouille,  les sensations de la nuit sont remontés à la surface ; c'était comme si les langues de mes partenaires de la nuit étaient là. Elles en léchaient chaque millimètre,  appuyant sur les veines gonflées,  elles écartaient les fragiles parois du méat comme pour le pénétrer.  
Le plaisir m'a envahit. Ma rosace frémissant au souvenir des charges reçus; langues amoureuses, braquemarts turgescents....je me suis déshabillé ; yeux mi-clos, cuisses écartées, j'ai caressé ma rondelle du bout d'un doigt tout en me branlant. Mon sphincter était encore sensible après les assauts répétés de la nuit. Je gémissais déjà et j'étais certain que je n'allais pas tarder à jouir. 
Soudain, en ouvrant les yeux, j'ai vu que j'étais observé! un mec, un inconnu me matait à travers le velux qui donnait juste sur mon lit. 
Un peu effrayé tout d'abord, j'ai vite compris que le mec était plus qu'intéressé par ce que je faisais... Alors n'écoutant que mes hormones et sans aucune prudence, je lui ai fait signe de rentrer.
C'était un mec plutôt massif, barbu; ses vêtements devaient cacher un corps plutôt musclé et sans doute à en juger par sa barbe fournie, velu de partout... Hmmm!
- euh, je suis vraiment désolé... a t-il dit en entrant dans ma chambre. je me promenais dans la forêt quand j'ai aperçu votre jolie maison et j'ai simplement voulu voir comment c'était à l'intérieur... Désolé vraiment, je suis confus....
Je voyais bien néanmoins que ses yeux allaient de mon visage vers ma queue que je continuais à caresser. 
Petit moment de silence et de gêne puis il s'est lancé..
- en fait je suis hétéro mais je dois avouer et à ma plus grande surprise, je suis plutôt excité .....
Un coup d'oeil à sa braguette suffisait pour le prouver.
A mon tour je me suis lancé; "on verra bien "me suis-je dit.
je me suis approché de lui et sans le quitter des yeux, j'ai défait sa ceinture, déboutonné son jean que j'ai baissé jusqu'à découvrir un slip blanc déformé par une trique prometteuse... toujours les yeux dans les yeux, j'ai caressé cette belle bosse qui se présentait à moi; c'était très dur et même à travers le tissu, je sentais des veines bien gonflées et palpitantes.. l'engin n'attendait que d'être libéré! j'ai cherché dans son regard comme un assentiment et je me suis lancé; j'ai baissé le CK et sa teub s'est élancée devant mon visage; épaisse et pas très longue; une goutte de mouille perlait déjà au dessus du méat. tout en le regardant à nouveau, j'ai recueilli du bout de la langue cette petite goutte. Il a fermé les yeux, courbé la tête en arrière et j'ai su à cet instant qu'il était vaincu.
j'ai pris sa verge en bouche tout en caressant ses boules et son entrejambe et j'ai commencé des va-et-vient de plus en plus profonds. 
- Putain mec! j'ai jamais été sucé comme ça; il a dit ça dans un grognement entre deux halètements. Il a alors ôté sa chemise découvrant un torse puissant avec des pecs très travaillés et velus. 
- j'ai continué un long moment à le gâter à coups de gorge profonde, le nez dans sa toison pubienne, à titiller sa rondelle bien cachée au fond d'une broussaille humide. Tout en poussant ma tête contre sa queue, il gémissait d'une voix rauque, ce qui m'excitait grave et me faisait redoubler d'ardeur.
- A toi maintenant, si t'as jamais goutté à une bite, c'est le moment! dis-je en lui tendant ma belle queue bien drue et courbe.
il s'est penché vers mon pubis et, sans même une seconde d'hésitation, la prise en bouche illico. Le bougre apprenait vite! fort des plaisirs que j'avais su lui prodiguer, Il a commencé à gober mon gros gland qui est entré dans sa gorge, la bouchant complètement, il a fermé les yeux, et respiré à fond par le nez, pour ensuite avaler ma queue toute entière , quand le gland a touché sa luette, il a senti les larmes venir, ça l'a fait tousser! mais sans sortir ma tige, il a dégluti, avalant la mouille abondante.  j'ai ensuite donné de petits coups de bassin enfonçant ainsi mon vit bien au fond de sa gorge; à lui maintenant d'avoir les narines titillées par ma toison !
Après cela, je me suis ensuite relevé et à genoux sur le lit, corps contre corps, nous nous sommes enlacés et nous nous sommes mangés les lèvres mutuellement, les yeux fermés et d'un seul coup les langues se sont touchées déclenchant comme un orage interne. Nos bouches avaient le goût de nos bites et c'était délicieux! Les mains du mec se sont plaquées sur mes fesses et il a frotté son sexe contre le sien avant de nous caresser mutuellement nos verges dressées. 
- N'hésite pas, lui ai-je murmuré à l'oreille, caresse ma raie, glisse un doigt dedans.... Alors il obéit,  son doigt se glisse et vient caresser mon trou du cul.
- hmmm! c'est top, vas-y enfonce-le ! et là encore il s'est exécuté; son doigt a  écarté doucement mes sphincters et m'a pénétré facilement. visiblement ça l'a beaucoup excité car sa queue est venue battre violemment contre son ventre.
- viens, baise-moi! dis-je doucement. 

Aussitôt, je me mets à quatre pattes, dos cambré, cuisses écartées
-Mais avant, tu me bouffe le cul; tu verras, c'est le meilleur!

En disant cela, j'écarte mes fesses imberbes, et recommence mes gémissements quand je sens sa langue toucher mon anus et l'inonder!  c'était une première pour lui bien sûr! mais là encore, comme par instant, il a su très vite quoi et comment faire avec sa langue même si je le guidais un tant soit peu. 

 j'avais les jambes bien écartées, le cul bien cambré et sa langue magique a continué son travail! très vite, son enthousiasme à lécher ma rondelle, a enflammé mon cul palpitant et  ouvert, comme s'il réclamait d'être comblé!
Il n'a pas eu beaucoup d'effort pour me pénétrer, car quand il a frotté son gland humide contre mon oeillet, c'est lui  qui est allé à sa rencontre, comme s'il était affamé! Un coup de reins et sa queue est arrivée au fond, d'un coup, d'un seul ses poils pubien sont venus chatouiller mes fesses.
 il m'a pris par les hanches et a commencé à me baiser lentement; je faisais tout pour que cela reste un souvenir inoubliable pour lui. 
Les va-et-vient s'accentuent, visiblement il adorait ce cul bien serré, peut-être mieux qu'une chatte; il devait sentir sa queue frotter contre le conduit qui la pétrissait! , c'est lui qui gémit maintenant et de me voir mordre dans le couvre-lit, l'excite visiblement!
Son pubis claque de plus en plus souvent sur mes fesses offertes 
Comme pour calmer le jeu, on se redresse, enlacés l'un contre l'autre, sa queue profondément ancrée en moi, je m'empare de la mienne et me branle frénétiquement, je voudrais jouir en même temps que lui; lentement, il reprend ses coups de reins et je branle mon vit à l'unisson. Il accélère,  il sent la sauce monter, monter, monter plus vite et quand il hurle, la première giclée se répand avec force en moi.
Quand les giclées cessent,  sa queue toujours au fond de mon anus, il prend ma queue et me branle énergiquement en m'embrassant dans le cou! Trois allers-retours et je crie de plaisir envoyant sur le couvre-lit de belles giclées de foutre!
On s'est laissé tomber sur le lit, épuisés, sans rien dire. Il était toujours en moi et je sentais sa queue se rétracter doucement. les yeux fermés, je savourais cet instant.... éphémère, 
- et ben! on s'emmerde pas!
j'ai ouvert les yeux subitement ; mon oncle était bras croisés à la porte de la chambre! depuis combien de temps était il là? qu'avait-il vu? je le saurais bien assez tôt, je me suis subitement redressé, me séparant de mon mec. Penaud, devant mon oncle, je sentais le sperme s'écouler le long de ma cuisse...
- bon, je crois que vous avez besoin d'une douche.. je vous laisse, dit-il enfin en me faisant un clin d'oeil





15 avril 2024

soirée de dingue 2, show exhib


Un bar au hasard.  Bar à backroom. Quelques mecs genre bear ou barbus,  cuir. Un bar qui me fait penser au bar de la série friends à la seule différence c'est bien sûr que la clientèle est exclusivement masculine et qu'il est réputé pour sa backroom très active.
quelques clients accoudés au bar, encore des écrans de tv, la même musique qu'ailleurs mais comme dans celui de la série des fauteuils et des canapés confortables. Peu de monde mais le bar est plutôt l'antichambre de la backroom.. même si dans certains coins ça se bécote et tripote sérieux.
Je me suis installé sur un canapé et j'ai commandé une bière.
En regardant le public du bar, pas de doute je suis le plus jeune!.. On me mate bien sûr.. je dois sentir les phéromones à plein nez.. , Un gars torse nu jean serré et délavé et harnais cuir, hyper sex,  Hyper odorant, s'installe à côté de moi.  Sans un mot mais regard et sourire éloquent.  J'ai immédiatement grave envie de lui.  Il pue la testostérone et déjà ça fourmille dans mon bas-ventre. Je distingue ses aisselles humides et velues et je me cramponne pour ne pas y fourrer mon nez et ma langue. Il écarte les cuisses et d'un signe m'invite à m'approcher. Sa braguette semble bien remplie....
Je pose ma main sur le cuir et caresse cette bosse dure . Il m'encourage. Il y a une backroom mais il a plutôt envie que ça se passe ici même dans la salle,  devant les clients... 
- ici ?! Dis-je interloqué ?  On va se faire virer !
- t'inquiète ! Le patron sait que ça excite les clients et moi j'adore les sunlights et toi aussi j'en suis sûr....
Bêtement,  j'ai mis ma capuche sur la tête comme pour être incognito !
J'ai déboutonné sa braguette et extrait de sa gangue un magnifique braquemart pas très long mais très épais. 
Ça sentait bon le sperme,  visiblement il avait déjà joui il y a peu. 
J'ai enfourné ce zob offert ; brûlant, veineux. J'ai léché les premières gouttes de mouille. Attiré par la scène, un mec est venu nous rejoindre; ça m'a dérangé car je ne voulais pas voir arriver toute l'assistance comme il arrive quelques fois dans les saunas ....





Il m'a  baissé ma capuche,  caressé le crâne tandis que je gobais la bite de mon mec et il a pris le relais pendant que l'on a échangé nos premiers baisers avec mon inconnu puis il est parti. J'ai continué à sucer ce délicieux zob offert.  Mon mec a baissé un peu plus son falze pour mieux écarter les cuisses et me permettre de  m'occuper de ses boules et il a soulevé légèrement les fesses quand il a compris que je voulais visiter sa raie avec mes doigts. Son entrejambe était humide et velue et je n'ai pas pu m'empêcher de les porter à ma bouche  pour en savourer toutes les saveurs et senteurs. ça lui a plu et il y a gouté lui aussi. A ce moment là, j'ai compris que l'on allait bien s'entendre!
Puis j'ai continué à m'occuper de sa queue.  Pendant  ce temps il a glissé sa main sous mon pantalon et dans mon sillon . Un doigt s'est introduit dans mon œillet tellement facilement qu'il s'en est étonné. 
- enlève ton falze m'a t'il dit,  je veux voir ton trou..
En me relevant je me suis aperçu que les clients nous mataient et certains filmaient avec leurs téléphones.  
Je m'en foutait,  c'était parti. 
J'ai baissé mon pantalon ne gardant que le jock-strap récupéré dans l'autre bar et je me suis mis à quatre pattes sur le canapé, bien agrippé à  l'accoudoir.  La scène devait être amusante ! Lui, le pantalon baissé jusqu'au cheville,  le cul à l'air et la bite bien droite et moi, bien accroché au canapé, le falze sur les chevilles, le cul offert  !
Il a approché son visage de mes fesses.  Je sentais son souffle court me rafraichir la raie.  
Soudain le silence.  Le patron a enlevé la sono ; tout le monde nous matait et/ou nous filmait,  nos gémissements,  nos halètements ajoutant à l'intensité du spectacle que malgré nous,  nous offrions... malgré nous,  c'est vite dit....
Il a écarté mes fesses,  découvert ma rosace; vibrante de désir, ouverte, se souvenant encore du mandrin précédent.
- c'est du haut de gamme ! Dit-il pour lui même et un peu pour les autres.  Certains se sont approchés; sifflets admiratifs,  compliments. 
Alors, il me malaxe, me frappe le cul, me donne de petites tapes, me faisant ainsi bien dandiner de désir. Il crache sur mon trou, souffle dessus.  Ma rosace se dilate tel un diaphragme.  Sa langue caresse fermement mes sphincters, me pénètre et je couine de plus belle.  Il se met à me doigter. En même temps, il  me fesse et je sens mon postérieur devenir rouge. Il ne cesse de répéter :

- Quel  cul, mec ! Trop bon !

Il se penche au-dessus de mes fesses, les mordille. Puis, à nouveau il enfonce sa tête dans ma raie et il se met à me bouffer le cul : il y glisse la pointe  de sa langue et il l’y enfonce lentement avant de l’insérer au plus profond. Pendant ce temps, ses mains pétrissent mes fesses comme si c’était de la pâte à pizza. Il me fait un anulingus de malade qui me fait gueuler de bonheur.  Applaudissements des clients !

Je me mets à mouiller du cul Tandis que sa langue tournoie dans mes entrailles avant de faire des va-et-vient, comme si elle me baisait …

- a toi mec, bouffe moi le cul.. bien profond!

Mon partenaire finit par se relever et, toujours empêtré dans son falze sur les chevilles,  m'offre son derche. 

Quel délice ! C'est ferme, musclé,  glabre.  Au fond de son sillon une magnifique rosace entrouverte aux rides profondes; lui aussi doit aimer qu'on vienne l'explorer.... Ma langue s'y précipite tandis que je lui malaxe les globes.  Le bougre aime ça car pour le plus grand bonheur des clients et mon plaisir à moi,  il couine intensément et j'y mets tout mon cœur et... mon savoir-faire ; conscient d'être regardé,  je me cambre le plus possible offrant mon cul entrouvert à la concupiscence de tous. 

- ta queue mec, je veux ta queue,  dit-il entre deux halètements.  

Quand votre partenaire vous démontre qu'il  apprécie ce que vous lui faites,  on y met encore plus d'enthousiasme et d'énergie et c'est presque avec regret que je quitte son sillon et sa rondelle. Je me débarrasse enfin de mon falze mais je garde mon précieux jock-strap collector. 

On s'embrasse tendrement.. ce mec ne finira pas de m'étonner ! Nos langues se lient et se delient tandis qu'il me caresse doucement le sexe pour enfin le gober peu après. 

Je bande grave et il montre fièrement ma verge dressée et décalottée à l'assistance. il veut la toucher, la caresser, la branler d'abord avant de l'avaler, il sait qu'elle va être bonne, des perles de mouille sortent du méat! La peau est douce et chaude, la bite bien dure et le gland décalotté tout rouge!  Il me caresse les couilles et pour l'encourager  mes mains se posent sur sa tête, mêlant mes doigts dans ses cheveux courts, le faisant frissonner. Ma bite bouge, cherche sa bouche. Il se recule un court instant, avant de l'enfourner totalement.  Il suce bien, profond; malaxe tendrement mes boules, glisse un doigt pour caresser mon périnée. 

- je veux te baiser, tu veux?

ma seule réponse a été un sourire complice; je me suis de nouveau agrippé cuisses ouvertes et cambré au max à l'accoudoir du canapé, non sans avoir remonté mon jockstrap... la ceinture peut toujours servir de rênes !

Il a collé sa queue humide de mouille contre ma raie, a caressé de son gland ma rosace offerte et Il m'a pénétré directement. Sa queue s’est enfoncée lentement en moi mais il m’avait si bien préparé que je n'ai ressenti aucune douleur. 

Soupir de plaisir quand son pubis velu s'est coincé contre mes fesses et ses grosses couilles contre mon périnée. Il a entamé alors  une baise régulière et profonde. Son gros gland m’ouvrant en grand. 

Ses couilles rebondissent contre mes fesses à chaque pénétration. Ses mains, pendant ce temps, ne cessent de caresser et de malaxer mon cul. Au bout de quelques minutes., il est ressorti de mes entrailles comme pour admirer mon fessier et surtout mon anus dilaté. Il a pris mes miches en mains et il les a malaxées,  caressées avec un plaisir évident. Finalement, il m’a attiré à nouveau vers lui et a enfoncé sa queue dans ma rondelle, d'un coup sec. Son gros gland m’écartant bien mes sphincters à l’intérieur. Il a ensuite levé la jambe, la plaquée contre la mienne pour enlacer mon corps qui s'est retrouvé collé au sien. Il entame alors de lents allers-retours. Ses coups de bite deviennent puissants et profonds, mais toujours lents. Ses couilles frappent mon cul et rebondissent contre. quant à moi, je serre mes sphincters autour de cette masse de chair qui me pourfend les entrailles, je sens contre mes muqueuses la moindre veine gonflée de sang de sa verge; lui, accroché comme un cavalier sur sa monture à la ceinture de mon jock, grogne d'une voix sourde et profonde. il accélère peu à peu la baise. Ses mains jouent avec mes fesses qu’il tapote ou frappe doucement, pour admirer mon cul vaciller et... à force de tirer comme un malade sur ma ceinture de jock, il l'arrache et tout en me donnant de grands coups de reins.

 Il me met sur le dos, il saisit mes jambes, m'empale de nouveau et il entame une baise régulière et profonde. Il me pilonne bien. Les poils de son pubis caressent mon cul, ses couilles rebondissent sur mes fesses moelleuses Trop bon ! Les va-et-vient, sauvages et puissants deviennent hyper rapides; Ma queue bat la chamade contre mon ventre; je m'en empare et me branle au rythme de ses coups de boutoir. Au bout de quelques minutes, je jouis couvrant sa cuisse de foutre. Au sommet de son excitation dans un spasme rauque, il s’enfonce en moi et il éjacule. Sa bite se contracte et envoie 8 giclées au fond de mes entrailles. Il donne encore quelques coups de reins, puis sort de mes entrailles. Quand il se retire, un flot de sperme dévale de mon cul; il me présente sa verge toute poisseuse et je la nettoie consciencieusement

- C’était trop bon !

- Oui ! Ton cul est dément, me murmure mon partenaire

On se relève sous les encouragements du public; le patron nous apporte deux bières en souriant et repare non sans avoir mis un doigt entre mes fesses pour recueillir et gouter un peu de sperme,

- hmmm, so good

nous nous sommes embrassés,

- moi c'est Nic et toi? 

-Hunter,

on a échangé nos telephones; see you soon Nic


-





11 avril 2024

soirée de dingue , le serveur du bar (1)

 


il y a des soirs comme ça! on a envie de se déchainer, de s’éclater, s'envoyer en l'air. Donner à chaque minute passée son poids d'intensité, de volupté ; car chaque minute, chaque instant compte. Et, surtout, on ne veut pas en perdre une miette.

Il y a des soirs comme ça, ou chaque atome de votre corps, chaque neurone se mobilise pour réclamer son poids de volupté. Vous avez les hormones à l'envers, vous n’êtes plus maître de vous. Alors puisque la nuit est belle, puisque la nuit ne fait que commencer, puisque vous avez la vie devant vous, vous allez vous donner à fond, vous abandonner complétement à vos désirs ; assouvir votre corps, l'apaiser.

Ici à NYC, les nuits peuvent être folles, délirantes. On peut danser et s’éclater jusqu'au bout de la nuit ; nus, les corps dégoulinant de sueur. Pour sûr les corps se rapprocheront, pour sûr vous savez comment cela va finir et c'est ça qui vous fait délirer, impatient de voir la nuit tomber. Ce soir, c’était un de ces soirs.  J'avais la ferme intention de m'abandonner à toutes mes envies et surtout celles des autres... 

Tenue de combat en cette chaude soirée de printemps.  Un tee-shirt,  un jean taille basse sans ceinture  à même le corps afin que l'on puisse apercevoir dans certains gestes mes adorables fossettes dorsales ou mon pubis rasé selon les cas rien dessous . J'étais hyper chaud ! À peine mon Jean boutonné, qu'une tache de mouille est apparue...

Il était encore tôt dans la soirée et avant toute initiative, il me fallait me mettre en condition. En me baladant dans une rue très animée du quartier gay, je suis rentré un peu au hasard dans un petit bar pas très fréquenté encore. Cela impliquait mater, me rassurer sur l'effet éventuel que je pouvais faire autour de moi et boire quelques verres.  Après on verra où mes pas me mèneront.  Boite de nuit pour danser,  sexclub,  sauna, toutes les options étaient sur la table. 

Le bar était plutôt étroit avec un comptoir sur toute sa longueur. Les sempiternels écrans diffusant une musique de circonstances, quelques clients en couple ou seuls.  Le bar était tenu par une drag Queen à l'entrée et ... un flash de beau mec à l'autre bout.  Un grand gaillard torse nu musclé, fine moustache,  un personnage à la Tom of Finland !

C'est vers lui bien sûr que je me suis dirigé.  Il m'a, en me voyant arriver, offert un sourire ravageur, de ceux qui vous font sentir immédiatement à poil.  J'ai demandé en bafouillant une bière. 

- offert par la maison, a-t-il simplement dit en la posant devant moi.

Il a soudain posé sa main sur la mienne, s'est rapproché tout près de mon visage, les yeux brûlants rivés sur les miens, 

- j'espère qu'elle est assez fraîche ? J'ai l'impression que tu as très chaud,  

Je n'ai pas su quoi répondre... Le mec hyper sex que j'étais en entrant était devenu tout timide !

J'ai bu quelques gorgées tout en continuant à le regarder travailler.  Le mouvement de ses muscles tandis qu'il lavait les verres,  ses aisselles velues tandis qu'il prenait une bouteille sur l'étagère, les effluves masculines qu'il dégageait au moindre mouvement, la ceinture de son jockstrap qui dépassait d son jean, tout cela me faisaient bander.  J'étais conquis. 

À un moment,  il s'est approché de la drag pour lui susurrer quelque chose à l'oreille tout en me désignant du regard. Celle-ci a sourit et hoché de la tête. 

Le gars s'est alors approché de moi, 

- j'ai très envie de te faire visiter notre réserve, il y fait très frais,  je crois que ça te fera du bien. Sans attendre la réponse, il s’est glissé sous le bar, m'a pris par la main et il m'a entraîné derrière un rideau de plastique qui occultait la réserve. 

Aussitôt, à peine entrés, nos bouches et nos langues se sont entrechoquées violemment. Son torse, ses bras que je découvrais des deux mains, étaient humides de sueur,  je sentais ses muscles fermes sous les doigts.  Ma queue  se raidissait douloureusement à l'étroit dans mon jean et j'ai vu ses yeux briller quand il m'a agrippé fermement la braguette.    

Tandis qu'il me bécotait fougueusement,  ses deux mains sur mon cou,  je caressais sa braguette.  Sa queue était là dure sous le tissu,  je voulais la voir, la tenir, la  bouffer.. 

Je me suis baissé, j’ai embrassé, mordu le coton rêche de son jean.  Puis tandis qu'il dégrafait sa ceinture, j'ai déboutonné nerveusement sa braguette, baissé son pantalon jusqu'aux cheville.  Elle était là sous le jock élimé déformé par l'érection.  J'ai mordillé, léché le tissu, humé ses senteurs intimes pour enfin libérer le braquemart qui s'offrait à moi. 

Une merveille, longue, épaisse, lourde.  Le gland déjà humide de mouille. 

Les poils pubiens quoique rasés, entouraient bien le zob et les couilles en étaient recouvertes, un poil noir et légèrement frisé et je l'ai humé cette odeur particulière d'épices originales.

J'ai observé en tenant son beau vit dans ma main, le gland circoncis, on voyait bien tous les dessins sur la peau du gland, cette peau tendue, le méat grand ouvert; des perles de mouilles arrivaient, j'ai serré, la perle est sortie, j'ai léché, il aimait ça et il poussait ma tête tout en couinant.

De la pointe de la langue je suis parti des couilles pour remonter sur la hampe, entourer le gland, l'avaler, l'aspirer, le sucer et l'avaler.  

Je n'arrêtais pas de lui triturer les couilles, glissant mes doigts dessous pour aller dans sa raie qu'il m’offrait !

Je le suçais de plus en plus vite, sa main s'était posée sur ma tête et suivait le mouvement, j'ai senti son gros gland durcir et le zob comme s'allonger dans ma bouche, il a émis un long grognement, en soulevant son cul, permettant à mon doigt de trouver sa rondelle.

Il a commencé alors à me baiser la gorge à petits coups de bassin poussant sa tige entièrement jusqu'à la glotte.  J'en pleurais mais de joie et de fierté à la prendre tout entière. 

Après cela il m'a relevé, collé contre le mur et après m'avoir bécoté furieusement. Il m'a fait ôter mon tee-shirt pendant qu'il déboutonnait mon falze et m'en débarrassait.  Il m'a retourné, fait écarter les jambes et il a commencé à fouiller ma raie à  grands coups de langue, 

- putain mec, c'est beau ça,  wide open mec !

J'ai obéi, ouvrant bien mes fesses, j'ai senti ses doigts passer dans la raie, toucher mon anus, un doigt s'enfoncer facilement! J'étais cambré au maximum, j’avais hâte de sentir son braquemart me labourer le cul. 

Il alternait avec la langue et ses doigts, l’air rafraichi par sa salive  s'engouffrait dans mon anus. C'était que du bonheur et je gémissais de plaisir.

- j'le savais que t'avais grave envie d'une bite!

Il m'a doigté rapidement avec deux doigts et son gros gland est venu se poser à l'entrée, forçant de suite!

J'aime ce moment où une nouvelle bite vient faire connaissance avec mon petit trou! Sentir mon cul s'ouvrir, sentir la peau douce et chaude du gland glisser et se laisser enrober! Mais là je n'ai pas eu le temps d'apprécier cette première fois, il était pressé, déchainé.  D'un grand coup de reins son braquemart est entré, une douleur fulgurante m'a traversé en même temps que je hurlais ! Mais j'ai senti ses poils se coller à mes fesses et ses couilles frapper les miennes!

Il m'a fait me relever, me collant contre lui, ses mains sur ma poitrine, je sentais son vit palpiter dans mon cul!

-putain de cul que t'as man! Tu viens de prendre 23 centimètres man! Ma queue est heureuse et elle va te donner plein de jus!

Il m'a mordu dans la nuque, avant de me repousser en avant, de m'agripper les hanches et si vous ne savez pas ce que veut dire se faire niquer et bien je vous le présenterai !


J'ai eu mal les premières minutes de sentir ce gros machin voyager dans mon conduit sans aucun ménagement !

 Il allait de plus en plus vite, ça claquait sur mes fesses de plus en plus fort et surtout de plus en plus vite. 

Son mandrin me labourait les entrailles excitant ma prostate. Ma queue dressée à rompre battait contre mon ventre et un copieux filet de mouille s'en écoulait. J'étais au bord de l'orgasme et bientôt j'ai joui sans même me toucher, envoyant plusieurs giclées de foutre contre le mur. Ça l'a excité quand encore plus et après deux ou trois coups de reins encore plus puissants que les autres, il s'est bloqué au fond de moi en hurlant également!

Tout le bar devait entendre nos gémissements de plaisir, mais on s'en foutait !

J'ai senti sa première giclée chaude et épaisse se répandre en moi, m'inondant bien le conduit; les giclées se succédaient, il me semblait qu'elles étaient toujours aussi fortes, il criait à chaque fois! Ses mains me caressaient les fesses, le dos! Des caresses douces, tendres!

Il est sorti rapidement de moi, je l'entendais souffler comme s'il reprenait son souffle!

Je me suis retourné pour m'agenouiller et observer ce qui venait de me transpercer.  

Quand j'ai levé les yeux vers lui, il me regardait en souriant!

Il bandait encore. Sa verge était couverte de foutre alors je l'ai caressée en passant le gland sur mes lèvres et je l'ai léchée entièrement.

Voir sa queue qui venait de laminer mon cul nettoyée à grands coups de langue lui a redonné de la vigueur.  Il a posé sa main sur ma tête et le gros serpent est rentré doucement !  J'étais asphyxié complètement, je toussais, je crachais sur cette belle queue et je me suis appliqué pour la sucer, lui tailler la meilleure pipe avec tous mes talents !

Il avait l'air d'apprécier tellement il gémissait!

Quand je sentais ses mains me serrer la tête, son zob durcir encore plus, je jouais avec ses couilles lâchant le zob, pour recommencer et l'agacer, pour qu'il gémisse encore et encore!

 Il m'a enfin bloqué la tête, le gland juste à l'entrée de ma gorge et les giclées chaudes sont revenues ! Putain de giclées, énormes, et ce sperme épais au bon goût ! J'ai vachement aimé cette première fois et lui également apparemment, car il est tombé à genoux devant moi!

Il avait son regard de mec étonné!

-t'es le premier à me faire jouir deux fois coup sur coup man!

-t'as un zob magnifique, comme toi d'ailleurs! mais regarde j'ai la queue raide comme un piquet!  Elle me fait mal!

-branle toi man ! dit-il en me fixant de son regard dominateur.

-fais le moi.

Il a eu l'air étonné que je lui demande cela.

-s'il te plait.

Sa main s'est emparée de ma queue et m'a branlé maladroitement, sèchement même! Mais j'étais content et tellement excité que je n'ai pas mis longtemps à jouir, me répandre sur son corps, ses poils, son vit qui bandait encore à moitié !

Je lui ai fait un bisou dans le cou pour le remercier, je l'ai senti frissonner !


Il fallait se rhabiller rapidement, il avait un boulot tout de même! Avant qu'il ne le mette, je me suis emparé de son jockstrap, je l'ai reniflé u instant,

- souvenir, mec! et je l'ai enfilé. On s'est rapidement rhabillés. en sortant, j'ai piqué un sweat à capuche ui devait lui appartenir également, souvenir encore ai-je dit! 

j'ai vu la drag lui faire les gros yeux; le bar était plein de monde, elle était débordée et apparemment on nous avait entendu gémir ce qui, je l'ai compris plus tard avait fait rigoler l'assistance. Le rideau de séparation en lamelles translucides de plastique avait été plusieurs fois soulevé par des clients qui s'étaient régalés du spectacle; nous on n'avait rien vu!

j'ai fait un clin d'oeil à mon serveur et j'ai poursuivi ma route vers l'inconnu.


A suivre!